L’implant dentaire consiste en une opération chirurgicale dérivée de l’implantologie. Pratiquée au centre d’Urgence dentaire Bois Colombes, l’intervention allie stabilité et fonctionnalité. Pourtant, bon nombre de patients doutent de la méthode. Pour vous prouver son efficacité, voici une compilation de ce qu’il faut connaître sur l’implant dentaire

Quelles sont les spécificités de l’implant dentaire ?

Un implant dentaire est une racine artificielle déposée dans l’os alvéolaire qui remplace les dents manquantes. Le dispositif se compose de : l’implant, du pilier et de la couronne. L’implant constitue l’ancrage de la mâchoire. Conçu en titane, le pilier fixe la prothèse sur l’implant. La couronne dentaire complète la partie visible de la nouvelle dent.

Un implant dentaire se décline en trois typologies : l’implant classique, l’implant court et l’implant basal. L’implant classique mesure 10 à 20 mm de longueur, contre 3 mm de diamètre. Sa forme commence avec une base large et se termine d’un bout arrondi.

L’implant court s’adresse aux patients, dont le volume osseux ne peut recevoir un implant classique. Malgré sa taille infime, sa solidité est égale à celle du modèle classique. D’ailleurs, la robustesse se reconnaît au contact entre la surface de l’implant et l’os et non à la taille.

L’implant basal atteint 50 mm de long. Il constitue une solution de dernier recours, car l’opération peut être invasive.

Comment se déroule la pose d’un implant dentaire ?

La mise en place de l’implant dentaire à Bois Colombes dure entre 30 min et une heure, selon la typologie de l’implant. Avant la chirurgie, le praticien scanne la mâchoire afin d’inspecter le volume osseux de la partie à traiter. Certains implants demandent deux, voire trois séances et ne peuvent recevoir la couronne qu’après la cicatrisation. D’autres s’implantent en une séance et peuvent immédiatement accueillir une couronne provisoire.

L’intervention se divise en trois parties. D’abord, le chirurgien administre l’anesthésie et incise la gencive. Il extrait la racine à remplacer et perce un petit trou dans l’os au moyen d’un foret. Il referme la gencive et laisse au repos, le temps de cicatriser. La période de latence, ou la mise en nourrice dans le jargon médical, dure six semaines à six mois. Dans la deuxième étape, il dépose un pilier en titane qui relie l’implant à la prothèse provisoire. Il achève les procédures en vissant la surface qui recevra la couronne.Des jours de repos s’imposent après la pose. Les activités physiques et les mouvements brusques sont interdits durant la convalescence. En fonction de la sensibilité du patient, le dentiste prescrit un anti-inflammatoire.

Pourquoi recourir à l’implant dentaire ?

L’implant dentaire assure une bonne santé de votre dentition. L’approche semble plus douce par rapport à la pose d’un bridge dentaire. Celui-ci nécessite la réduction du volume des dents situées à proximité pour permettre l’apposition d’un pont dentaire. La technique provoque des désagréments à la mastication. À l’inverse, l’emplacement de l’implant est solide et garantit un maximum de confort.

La racine artificielle profite d’une longévité allant de 20 jusqu’à  50 ans. Elle est fabriquée sur mesure et imite en tout point l’aspect de la dent initiale. Le corps médical du centre d’Urgence dentaire Bois Colombes utilise l’alliage de titane (une matière biocompatible) dans la confection des prothèses.

Par ailleurs, conserver la qualité de l’implant dentaire implique quelques précautions : une bonne hygiène bucco-dentaire et une consultation trimestrielle chez le dentiste. Au besoin, le praticien recommande l’usage de brossettes interdentaires en guise d’accessoire d’entretien.

Quelles sont les contre-indications ?

L’implant dentaire est utilisé :

• en replacement d’une dent défaillante ;
  
• en remplacement de deux dents adjacentes ;
  
• en remplacement de l’ensemble de la dentition ;
  
• en traitement aux problèmes de malocclusions dentaires ;
  
• en traitement aux caries.
  

Il s’adresse aux adultes en parfaite santé. Sont incompatibles au traitement les patients souffrant d’une insuffisance rénale, de maladies des os, de maladies valvulaires, d’un déficit immunitaire, de diabète et d’hypertension. De même, un fumeur et un patient au stade de sevrage tabagique ne peuvent supporter une telle opération. L’implant dentaire est aussi déconseillé chez les enfants qui n’ont pas encore atteint la fin de la croissance osseuse. Au cours de l’examen clinique préliminaire, le professionnel inspecte la situation sanitaire du patient et s’assure de l’absence de risque.